Comment échapper à ce moment fort que sont les vendanges ?
Comment ne pas être envahi,
obsédé par ces taches de couleurs qui se répètent
et se renouvellent sans cesse au fil des jours et des promenades ?
Comment, finalement, ne pas y superposer le travail du vendangeur et du vigneron pour ne plus voir,
homme et nature à l’unisson,
que la promesse du vin à venir ...
Comment résister à l’appel ultérieur de ces paysages modifiés par l’homme, comment ne pas errer sans fin au milieu de ces lignes…